La construcción de la (anti)utopía a través del género y el espacio nacional: Llorenç Villalonga, M. Aurèlia Capmany y M. Antònia Oliver

Auteurs-es

  • Alfons Gregori Uniwersytet im. Adama Mickiewicza

Mots-clés :

littérature catalane, études de genre, utopie, dystrophie, catalanisme, totalitarisme

Résumé

Dans le présent article on analyse l’articulation idéologique des aspects de genre et espace national sur trois romans catalans écrits pendant le franquisme tardif et la transition démocratique : Quim/Quima (1971) de M. a.  capmany, Andrea Víctrix (1974) de ll.  Villalonga et el vaixell diràs i no Tornaràs (1976) de M. a.  oliver.  capmany  emploie le motif transhistorique de l’orlando  de Woolf à fin de recréer les faits passés en terres catalanes avec une vision de futur pleine d’espoir en ce qui concerne des questions sociales, nationales et de genre. oliver réfléchit sur la liberté et le totalitarisme en partant d’un travail stylistique et idéologique où la sexualité et l’utopie du Mai 1968 sont protagonistes. De son côté, Villalonga présente un monde où le paradigme étique et de la dualité de genres a subit une tournure radicale, c’est-à-dire, une dystopie dans laquelle la sexualité ratée et la décadence politico-morale coexistent.

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Publié-e

2012-10-01