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Auteurs-es

  • Ibán Díaz Parra Universidad de Sevilla, Departamento de Geografía Humana
  • Jaime Jover Báez Universidad de Sevilla, Departamento de Geografía Humana
  • Beltrán Roca Martínez Universidad de Cádiz, Departamento de Economía General
Vol. 56 No. 1 (2017), Artículos, Pages 344-364
Reçu: Apr 17, 2016 Accepté: Dec 18, 2016 Publié: May 2, 2017
Comment citer

Résumé

Cet article vise à expliquer le retournement vers la politique électorale et institutionnelle d’une grande partie de l’activisme issu du Mouvement 15-M. Depuis l’année 2014 on a dépassé le domaine de la protestation et la contestation sociale -majoritairement depuis des positions autonomistes et d’autogestion- vers des formes conventionnelles de participation politique, comme les partis politiques et les candidatures électorales. Les changements qui se sont produits tout au long du cycle de protestation (initié par le 15-M en 2011) résulteraient de la tension entre deux cadres de référence et deux proyets spatiaux alternatifs. Ces projets contiennent des tendences antagoniques mais autant réductionnistes dans leur approche politique: le fétiche de l’État et le fétiche du communautaire. À partir des entretiens semi-structurés et de l’analyse de documents, on conclut que, en conjoncture de crise, ces sont les propres pratiques autonomistes à mettre en place les bases politiques pour un changement sur les institutions.

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Détails de l'article

Comment citer

Díaz Parra, I., Jover Báez, J., & Roca Martínez, B. (2017). Du 15-M au tournant électoraliste. Projets spatiaux et fétiches politiques dans les strategies de l’action collective. Cuadernos Geográficos, 56(1), 344–364. Consulté à l’adresse https://revistaseug.ugr.es/index.php/cuadgeo/article/view/4692